Après avoir publié deux pages sur les émulateurs Atari 8bits, dont une sur la mise en œuvre d’Altirra, j’ai redécouvert la programmation en Atari BASIC, en portant mon jeu d’aventure de référence La maison du fou. J’ai ainsi pu redécouvrir quelques spécificités intéressantes de ce BASIC un peu particulier.
J’ai publié en octobre dernier un outils d’aide à la traduction de programmes écrits en BASIC, dénommé bastrad. Ce dernier est décrit et téléchargeable dans l’article « Assistant de traduction de jeux en BASIC« .
Nous allons maintenant voir un exemple pratique d’utilisation de cet assistant, en prenant comme exemple le jeu d’aventure Treasure of Elgon, dans sa version Applesoft BASIC (mais cela fonctionne également avec les versions pour d’autres BASIC tel le MC10).
The treasure of Elgon, with the French touch !
La chose aurait dû être simple, surtout grâce l’outil bastrad. Hélas, j’ai fait face à quelques difficultés liées à la façon dont est programmé Treasure of Elgon, qui n’est pas exempt de bugs…
J’ai découvert récemment, sur le site de Jim Gerrie, que le jeu Sorcellerie publié dans l’Ordinateur Individuel de décembre 1985 a fait l’objet d’une adaptation pour Apple II par le magazine Tremplin Microdans le numéro 18 publié en janvier 1988.
L’article de l’époque de Tremplin Micro n°18 page 2
En 1983 a été publié un livre intitulé « Write your own adventure programs for your microcomputer » expliquant aux jeunes de l’époque comment programmer un jeu d’aventure en mode texte, à la manière des premiers jeux développés par Scott Adams (game designer).
Depuis les dialogues de Platon du Timée et du Critias, le mythe de l’Atlandide a fasciné des générations d’historiens, de scientifiques, de savants, d’archéologues, de philosophes ou de simples curieux. Il faut dire que Platon insiste sur l’authenticité de son récit, qui n’est pas présenté comme une fiction. S’ajoute à cela la description d’une civilisation brillante, correspondant à un âge d’or de l’humanité, et qui finit dans un cataclysme conduisant à son engloutissement total par les flots, ce qui donne une force saisissante au récit.
Le nombre de recherches et de livres sur le sujet est considérable, une bibliothèque américaine recense ainsi plus de 50000 ouvrages sur l’Atlantide. De grands auteurs de romans d’aventure comme Jules Verne font apparaitre l’Atlantide dans leurs récits (dans 20000 lieux sous les mers, illustration ci-contre).
Les ordinateurs ne sont pas en reste, puisque le thème de l’Atlantide est abordé dès l’aube des jeux d’aventure textuels, et c’est l’objet de l’article d’aujourd’hui.
Certains anciens programmes écrits en BASIC pour le TRS-80 MC10 sont disponibles sous la forme de fichiers images de cassettes, mais pas sous la forme d’un fichier texte. Ce dernier est nécessaire lorsque l’on a besoin du programme source pour l’adapter à une autre ordinateur. Ce tutoriel donne une méthode pour récupérer facilement le fichier source d’un programme BASIC du MC10.
I recently came accross an article about GPascal, which was published in 1982 in « Your Computer » magazine . GPascal is a subset of Pascal language for Apple II and C64, and it was developped by Nick Gamme in the early eighties.
Oui, il s’agit encore d’un jeu d’aventure en mode texte. Mais le château Gaillard existe réellement, il s’agit d’une forteresse militaire du XIIe siècle située en Normandie, conçue par le roi d’Angleterre Richard Cœur de Lion.
Dans cet article, nous allons voir comment un jeu d’aventure peut être adapté à l’Apple II, en explorant deux possibilités ; la programmation en BASIC Applesoft et en ZBASIC. Dans cette optique, nous utiliseront le programme « L’ivresse de l’or », jeu d’aventure développé à l’origine pour l’Amstrad CPC464.
Ce programme écrit en Python permet de créer sont propre jeu d’aventure à la façon des livres-jeu « dont vous êtes le héros » qui étaient si populaires fin des années 80s. L’idée de créer ce programme m’est venue en lisant le numéro 31 du magazine Jeux et Stratégie, qui comporte un article d’initiation au jeu d’aventure, Le mystère de la statue maudite (voir la suite de cet article). J’ai eu envie d’en faire une version informatique (34 ans après la publication) puis eu l’idée de faire un programme générique de gestion de jeu d’aventure simple.